Créez une alliance solide dès vos premières semaines

Pourquoi l’alliance solide est primordiale

Et aujourd’hui, nous allons aborder un thème central, un thème cœur, qui est comment créer l’alliance solide dans mon équipe, comment faire en sorte que cette équipe devienne performante et qu’elle ait confiance en moi et comment lui faire confiance. Les projets, c’est avant tout des hommes, des interactions et puis il y a une équipe, l’équipe projet que le chef de projet peut avoir à orchestrer, à mener, à gérer pour qu’elle puisse donner le meilleur d’elle-même. Cette alliance solide constitue un socle comparable à une bague de fiançailles : un anneau qui relie, comme un jonc en or blanc, un jonc en or jaune ou un anneau en platine, dont la pureté et la brillance rappellent la confiance réciproque. Ici, on va parler d’alliance solide, de leadership et de toutes les caractéristiques que le chef de projet va devoir avoir, ainsi que la posture qu’il doit adopter pour créer l’équipe la plus performante avec les personnes qu’il a dans son équipe, à la manière d’un joaillier qui choisit une monture adaptée, un serti précis et des diamants aux bons carats pour un bijou intemporel.

Autres épisodes et références en la matière

J’ai déjà fait plusieurs épisodes, des épisodes solo comme la définition de l’équipe projet qui est le 7e épisode de la saison 1, ou bien encore, lors de ma saison 2, je crois, ou 4, avec Rémi-Xavier Pallet. Nous avons abordé justement l’équipe comme le manager, le chef de projet qui doit être le coach pour ses équipes, ou bien encore avec Vanessa Delcourt, comment engager, motiver ses équipes pour qu’elles puissent être performantes. J’inscris ces références dans la logique d’une alliance solide, comparable à une parure cohérente où le solitaire et les alliances en or se répondent. Deux épisodes me tiennent vraiment à cœur, l’un avec Laurent Tufferi et l’autre avec Sébastien Breno, également animateur d’un podcast portant sur la santé mentale de l’équipe : se préoccuper du mental de ses collaborateurs, c’est polir la pierre précieuse de la coopération, comme un bijoutier polit un diamant blanc. Toutes ces ressources, que je vous mets en description de l’épisode, constituent un écrin méthodologique. Si aujourd’hui vous rencontrez une de ces problématiques, explorez ces épisodes : ils montrent plusieurs facettes de la gestion d’équipe pour le chef de projet, et chacun participe à une alliance solide, comme différentes alliances de mariage s’assemblent en un jeu d’anneaux complémentaires, parfois bicolore, parfois or et diamant, parfois or rose discret, parfois platine au tour complet.

Pourquoi c’est important pour le chef de projet

Le chef de projet, aujourd’hui, gère l’humain ; c’est sa pluralité, sa particularité. Avec l’ascension de l’intelligence artificielle, cette responsabilité d’équipe—mener à réussir et à performer—demeure. La question devient : comment, en arrivant dans sa mission, créer dès les premières semaines une alliance solide avec l’équipe projet ? Sans cette alliance solide, vous allez ramer : aucun planning, si brillant soit-il, ne remplace la cohésion. Un projet sans alliance solide perd en brillance, comme un bijou fantaisie qui imite mal la précision d’une joaillerie experte ; il peut s’enliser dans les conflits, ternir comme un or non rhodié ou un plaqué or mal entretenu. L’alliance solide, elle, se travaille comme un serti griffes qui sécurise des diamants ronds, un serti rail qui stabilise un ruban de pierres fines, un pavage de topaze, de saphir, d’émeraude ou de rubis : chaque gemme trouve sa place, chaque compétence est mise en lumière, chaque taille brillant révèle sa pureté.

Le modèle de Tuckman et l’alliance solide

Je commence par un modèle célèbre et utile : Tuckman. Lorsque l’équipe se forme, si vous arrivez en cours de route comme chef de projet ou si vous constituez l’équipe dès le début du projet, survient une première phase de formation. Chacun se découvre, observe et teste la confiance. C’est ici que se forge une alliance solide, comme lorsqu’un joaillier choisit un alliage adapté—or blanc 18k, or jaune, or rose, platine ou palladium—en fonction de la peau, de l’usage, du budget, du symbole de l’amour. Ensuite vient la storming : les conflits émergent, par diversité culturelle, d’âge, de personnalité, ou par simples malentendus sur les manières de travailler. Un exemple concret : des horaires décalés (7h vs 11h) ne laissaient qu’une plage commune de quatre heures. Il a fallu adapter l’organisation des réunions, ouvrir le dialogue, graver de nouvelles règles dans notre anneau collectif, comme on graverait une alliance en or avec une date, une initiale, un symbole de l’amour éternel.

Quand ces tensions sont traitées, la norme s’installe : c’est la norming. On pose des règles communes, on ajuste la monture, on vérifie la taille de bague, on choisit le tour de doigt adéquat. Vient la performing : l’équipe atteint sa pleine performance ; c’est le moment où l’alliance solide brille, sertie de diamants blancs bien alignés, un solitaire diamant qui capte la lumière ou une trilogie subtile. Enfin, l’adjourning : la fin du projet, la séparation, comme lorsqu’on range la parure dans son écrin, en gardant la mémoire du poinçon et la pureté mesurée en millièmes. Ainsi se déroulent les cinq étapes : forming, storming, norming, performing, adjourning ; chacune exige une alliance solide, un choix de métaux précieux, d’alliages, de montures et de sertissages adaptés, qu’on parle d’un anneau de mariage, d’une bague en or blanc rhodié, d’une alliance platine ou d’un jonc en or gris.

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Le modèle de Tuckman appliqué à la gestion de projet et à la joaillerie métaphorique

Le modèle de Tuckman décrit cinq étapes : forming (découverte mutuelle, prudence, observation), storming (conflits et frottements), norming (règles partagées), performing (pleine performance) et adjourning (fin du projet). Dans une mission, j’ai géré un conflit d’horaires extrêmes (7h vs 11h), ne laissant que quatre heures communes : nous avons négocié, comme on ajuste une bague anneau trop large à l’annulaire gauche ou à la main droite. L’alliance solide, ici, est pratique et symbolique, comme une bague de mariage discrète mais essentielle, parfois sertie de diamant noir pour marquer une singularité, parfois en céramique ou en titane pour une robustesse inoxydable, parfois en argent massif ou en argent rhodié si la flexibilité budgétaire et la légèreté priment. Le chef de projet, tel un joaillier, veille à la cohérence de la monture, au sertissage, au choix des pierres précieuses, à la pureté du carat, à la brillance et à la finesse de l’ensemble.

Utilisez la charte d’équipe comme une alliance solide

Alliance solide

L’objectif, c’est de sceller une alliance solide avec l’équipe. Dès la phase de formation, je propose d’utiliser une charte d’équipe, document disponible dans le kit complet pour réussir ses 100 premiers jours. On la voit trop rarement, alors qu’elle est primordiale, surtout en équipes distribuées. Cette charte formalise l’alliance solide, un contrat clair : voici ce que nous allons vivre, comment nous allons nous organiser, comment nous entraider, même dans les difficultés. On parcourt chaque champ, on comprend ce qui plaît ou irrite, on choisit nos canaux de communication (réunion courte, message direct), on clarifie les horaires comme on clarifie la taille de bague avec un baguier. On ajuste les rituels, on définit les sprints, on identifie les dépendances, on fixe un pavage de jalons qui, tels des diamants ronds ou des oxydes de zirconium en pavé, structurent la surface de travail. La charte, c’est l’anneau de mariage de l’équipe : une alliance solide, sobre ou originale, parfois bicolore, parfois sertie de cristaux, parfois ornée d’un saphir ovale ou d’une aigue-marine selon la personnalité collective.

Adaptation et compréhension de chacun au service d’une alliance solide

Certaines personnes arrivent à 11h et repartent tard ; d’autres, présentes dès 7h, cumulent les cafés. Ces différences irritent, comme une monture mal adaptée irrite la peau. D’où l’importance d’un ajustement respectueux : savoir qui préfère l’open space et qui a besoin d’une salle anti-bruit ; placer ceux qui aiment discuter à proximité et offrir, pour d’autres, un écrin de silence. Ici, l’alliance solide relève de l’écoute active : comprendre les habitudes, proposer un team building, recourir à des tests de personnalité (MBTI et variantes) pour cartographier la palette de profils. Il ne s’agit pas de juger—il n’y a pas de mauvaise personnalité—mais d’assembler des forces complémentaires, comme on marie des gemmes et des métaux précieux, des alliages adaptés, un sertissage précis. Participer collectivement à la charte d’équipe, c’est co-créer une alliance solide ; la faire seul reviendrait à choisir une bague en or sans consulter la personne qui la portera, au risque d’une taille inexacte ou d’un style inapproprié.

Rituels, fuseaux et alliance solide

Pour des équipes réparties entre la France, l’Espagne ou la Chine, la fenêtre de recouvrement impose un calibrage fin. Comme un joaillier qui équilibre un tour complet de pierres fines, on répartit les réunions, on évite le midi pour certains, on s’ajuste à 14h pour d’autres. On décide d’une cadence : hebdomadaire, journalière, mensuelle, formelle ou non. On inclut, si pertinent, des acteurs externes, des clients, des partenaires, comme une collection de bijoux qui associe bracelets, pendentifs et montres à la bague centrale. En contexte agile, le sprint zéro sert de moment fondateur : quatre heures de team building, poser les règles du sprint planning, du daily stand-up, du review, du retro. Le but est une vision claire, simple et partagée, une alliance solide qui se lit comme une gravure intérieure : discrète, mais décisive. On rappelle les objectifs, on affine les règles, on se connaît mieux ; on passe du forming au storming en sachant que la confiance, telle une brillance mesurée, se polit par itérations.

Leadership, co-construction et alliance solide

Le leadership ici n’est pas directif ; il est co-construit. Le chef de projet n’impose pas un cadre rigide ; il crée les conditions d’une alliance solide, augmente l’autonomie, stimule l’engagement. Cette approche, discutée dans divers épisodes (par exemple la série Néo Leaders), rejoint la logique d’un serti qui sécurise sans étouffer la pierre. On cherche la finesse, la sobriété, la durabilité. Une alliance solide peut être minimaliste comme une simple alliance classique, ou plus expressive comme une bague trilogie ; dans tous les cas, elle doit être adaptée à votre budget et à votre personnalité, au contexte et aux contraintes, au poinçon qualitatif que l’on souhaite garantir.

Découvrez les étapes d’un plan de communication

Anticiper et gérer les conflits pour préserver l’alliance solide

Les résistances et les conflits sont inévitables ; il ne faut pas les fuir. Ils représentent l’occasion d’apprendre, d’écouter, de comprendre pourquoi une personne est tendue, différente. Le chef de projet doit désamorcer pour éviter l’escalade, prévenir l’apparition de clans. Certains experts aguerris testent la stabilité du leader : cohérence, fiabilité, alignement entre annonces et actes. On ne force pas ; on tient le cap, on prend le temps du lien. Dès qu’une tension apparaît, on agit : la charte prévoit les mécanismes de gestion interne, la relation avec le management et avec le client. Un conflit ignoré enfle comme une fissure dans un sertissage ; à terme, la pierre peut bouger, la bague peut se déformer. Prévenir, c’est consolider l’alliance solide, resserrer les griffes, vérifier la monture, changer d’alliage si besoin, recourir à un rhodié pour raviver une surface terne.

Célébrer, reconnaître et renforcer l’alliance solide

Il faut célébrer, et souvent. Le feedback ne doit pas se réduire au négatif. Reconnaître une étape franchie, c’est faire briller l’alliance solide ; mettre en avant une initiative, c’est ajouter un discret diamant or, un pavage subtil, un éclat de topaze qui capte la lumière de l’effort collectif. Instaurer un rituel, par exemple chaque vendredi, pour féliciter trois membres, c’est poser trois pierres fines supplémentaires sur le cercle commun. La technique du sandwich—positif, axe d’amélioration, positif—préserve l’alliance solide : la personne comprend qu’elle reste une gemme utile au bijou global, même si un angle doit être retaillé. Cette hygiène managériale évite le cynisme, structure une culture où l’on porte l’alliance solide au quotidien, à la main gauche sur l’annulaire, ou métaphoriquement au cœur des rituels de projet.

Choisir et entretenir l’alliance solide : analogie joaillière

Comme pour une bague en or, une alliance diamant, une alliance platine, une bague en argent ou un anneau bicolore, l’alliance solide requiert un choix informé et un entretien. On détermine les priorités : robustesse (platine, titane, acier inoxydable), éclat (diamants blancs, pavage), style (solitaire, trilogie, éternité), budget (or 18k, or rose, or noir, vermeil), originalité (céramique, nacre, tourmaline, grenat, tahiti). On pense aux usages : pour femme, pour homme, pour les femmes, pour les hommes ; on ajuste la taille, on grave l’intérieur, on prépare l’écrin. On veille aux alliages, aux millièmes, au poinçon ; on surveille le sertissage, les griffes, la monture ; on anticipe la patine. De même, une alliance solide en équipe nécessite des points réguliers, un feedback continu, un recalibrage des horaires, des canaux, des rituels, une révision des objectifs, une clarification des responsabilités. On évite les solutions fantaisie qui brillent peu de temps et on privilégie les choix intemporels, sobres, adaptés, capables de traverser les saisons d’un projet comme une bague éternité traverse les années d’un mariage.

Conclusion opératoire : sceller et faire vivre l’alliance solide

Une alliance solide se construit dès le départ, s’entretient en cours de route et se célèbre à chaque jalon. Elle n’est ni un slogan ni un accessoire ; elle est la monture invisible qui tient ensemble les pierres d’une performance durable. Forming, storming, norming, performing, adjourning : à chaque étape, on vérifie l’ajustement, la tenue, la brillance. Charte d’équipe, rituels adaptés aux fuseaux, feedback exigeant et bienveillant, gestion active des conflits, leadership co-construit : autant d’éléments qui, combinés, composent un anneau bague fiable, une alliance originale ou classique selon le contexte, mais toujours une alliance solide. Dans cette perspective, passer la bague au doigt de l’équipe—symboliquement—revient à graver un engagement clair : faire de la collaboration une pierre précieuse, la protéger par un serti adéquat, et la laisser briller dans une collection de bijoux managériaux où chaque projet trouve sa monture, son diamant serti et sa propre éternité.

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